
Julian Assange et « Hacking Justice »,le documentaire inédit
Jeudi 1er juillet, cadeau des Ciné-Mutins : on a regardé et savouré des extraits inédits de « Hacking Justice », documentaire de Clara López Rubio et Juan Pancorbo consacré à l’homme derrière Wikileaks (sortie : octobre 2021).
- broadcast.id
1808- broadcast.wp_legacy_id
29750- broadcast.wp_legacy_link
- https://www.auposte.fr/julian-assange-et-hacking-justice-le-documentaire-inedit/
- broadcast.youtube_id
–- broadcast.peertube
{"peertube_id" => nil, "peertube_duration" => nil, "peertube_uuid" => nil, "peertube_short_uuid" => nil, "peertube_aspect_ratio" => nil, "peertube_views_count" => nil, "peertube_comments_count" => nil}- broadcast.wp_legacy_source_url
–- broadcast.page.image_url
/uploads/store/page/3760/image/577ecb2e69915f2e1dcc9d521118eacd.jpg- Série
- –
- Invité(s)
- Azam Olivier
- Durée
- Date
- 01/07/21
Tout le monde a entendu parler de « l'affaire » Wikileaks mais peu la connaissent dans le détail. La sortie de la version française du documentaire « Hacking Justice », prévue pour le mois d'octobre, sera accompagnée d'un livre-enquête comprenant des entretiens inédits, y compris avec les réalisateurs du documentaire, ainsi qu'un ensemble de textes dont la rédaction est supervisée par Olivier Azam et les Mutins de Pangée.
Les révélations de Wikileaks, entre 2006 et 2012, visent à combattre l'opacité entretenue par les États-Unis, son gouvernement et ses agences fédérales, à propos de nombre de ses activités civiles et militaires. L'acharnement de la justice américaine à l'envers de Julian Assange, son créateur, montre à quel point la plateforme d'information touche juste. Notes de l'armée sur la guerre en Irak chroniquant ses crimes de guerre, memorandums détaillant la stratégie de manipulation de l'opinion publique chez les pays alliés pour leur « vendre la guerre », les fuites de documents battent en brèche l'idée selon laquelle le secret entretenu fait le bien du peuple.
En 2021, Julian Assange croupit toujours à Belmarsh, prison de haute sécurité dans la banlieue de Londres, et risque l'extradition aux États-Unis où il encourt 175 ans de prison.